L’ivresse d’être.
Vertige,
Du devenir déliquescent
Aux souvenirs défaillants
Nulle envie qui fait les projections futures.
L’ouïe fine goûte l’empreinte imperspectible du présent
En arrêt parmi la course des vivants
Vivre autrement, dilaté dans un air sans temps
Percevoir au tréfonds.
Embrasser par tout de ce que je suis
Maintenant, sans emprise.
J’aime la conscience ultime, complète qui se sait reliée.
Morceau infime d’une racine,
Je ne suis rien qu’un tout.
Contente de te lire et en espérant que ce ne sera pas *qu’éphémère*…….
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Mystère et boule de gomme…merci Malyloup.
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Quelle belle ivresse que celle que tu livres ici. Tout y est beau et particulièrement les 2 dernières strophes.
Je rejoins l’avis de Maly. Contente de te lire aujourd’hui.
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Merci Laurence. Ces petits moments d’ivresse permettent de booster une inspiration sèche comme une carpette.
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